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Dominique CHARNASSÉ
9 novembre 2025
Le génie français au travers des siècles

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Le génie français au travers des siècles

L’expression « Le génie français » semble déroutante, car elle est polymorphe et présente une riche déclinaison : grandes réalisations, grands noms, grandes applications (génie civil : art des constructions ; génie militaire : art de la guerre). C’est un état d’esprit de découverte, d’ingéniosité, de création, de conquête, (selon Bern Williams : le talent est une flamme, et le génie est un incendie).

Le premier terme : le génie vient du latin Genius (en rapport avec la naissance, la genèse, la généalogie, le lignage qui implique les talents et les vertus). Le mot latin découle du grec Gennân qui signifie « créer, générer, former ». Le Génie chez les anciens Romains était à l’origine un esprit protecteur, une divinité de la naissance qui accompagnait l’individu tout au long de l’existence, avant de s’élargir aux dieux, aux villes, aux lieux et objets, reliant ainsi l’homme au divin.

Le second terme : français. Le génie ne s’applique pas seulement à une personne qui se démarque de façon exceptionnelle de ses contemporains par des aptitudes et/ou une force intellectuelle hors du commun, à un artiste ou un inventeur doté d’une force créatrice extraordinaire, mais à une Nation qui lui permet de se constituer, de croître, d’occuper une place majeure dans plusieurs domaines, voire de rayonner au tout premier rang des Nations. 74 lauréats (7 lauréates) ont reçu le prix Nobel depuis 1901 : 19 en physique, 16 en littérature, 13 en médecine, 11 en Chimie, 10 pour la paix, et 5 en économie.

Ce concept évoque avec nostalgie un siècle d’or dont la formule aurait été perdue comme celle de la pierre philosophale de l’alchimiste Nicolas Flamel ; la France serait ainsi passée d’une glorieuse ascension vers un zénith ces temps passés à une glissade vers le nadir dans les temps actuels et futurs.

Ses détracteurs considèrent le génie français comme dépassé, voire caduc, signifiant implicitement le déclin irréversible de la France, déclinisme qui nourrit le pessimisme, le fatalisme, et en finale une désespérance paralysante.

Quatre composantes du génie français peuvent être dégagées.

1) La liste des découvertes et des inventions françaises qui ont révolutionné le monde est impressionnante (depuis le XVII -ème siècle) :

Ces découvertes et inventions sont infiniment variées, grandes et petites, avec souvent l’apport de Français fraichement naturalisés (« Français de papier timbré », lié au timbre fiscal, expression d’Albert Monniot, collaborateur du journal la Libre parole d’Edouard Drumont en 1915 à l’égard des Allemands naturalisés Français et en 1927 vis-à-vis de Juifs en provenance d’Europe centrale + expression de grand remplacement repris plus tard par Renaud Camus). Beaucoup de ces inventions sont présentes dans notre quotidien, ont été reconnues dans le monde entier. Souvent copié, le génie tricolore est une source inépuisable : quelques exemples emblématiques :

XVII ème siècle

/ La calculatrice a été créée par Blaise Pascal en 1642 : elle s’appelait initialement la « Pascaline ». Il s’agissait d’additionner et de soustraire deux nombres et effectuer des multiplications et des divisions par répétitions ;

/ L’autocuiseur, inventé en 1679 par Denis Papin physicien et mathématicien (la « cocotte-minute » a été déposée ultérieurement par Seb). Il pose le principe expérimental de l’utilisation de la vapeur comme force motrice en 1690 ;

XVIII ème siècle

/ Le parapluie pliant, en 1710, par Jean Marius qui est l’un de ces héros du génie français méconnus pourtant présents dans quasiment tous les foyers. Ayant impressionné Louis XIV et la Cour de Versailles, il reçut le privilège royal, ancêtre du brevet, pendant cinq ans de mettre sa marque sur tous les parapluies pliants ;

/ La voiture a été créée par Nicolas Joseph Cugnot, ingénieur militaire qui conçoit, en 1771 le premier véhicule automobile à vapeur à deux cylindres. Il s’appelait le fardier de Cugnot (chariot qui transportait des fardeaux pesants) ;

XIX ème siècle

/ La boîte de conserve, en 1810, par le confiseur Nicolas Appert qui met au point une méthode de stérilisation et de conservation des aliments dans des bocaux étanches chauffés à haute température. Cette invention s’est avérée fort utile tant sur les bateaux que pour les soldats dans les tranchées en 14-18 ;

/ Le stéthoscope a été inventé, en 1816, par le docteur Laennec ;

/ La photographie par Niepce, en 1827 : la 1ère photo représentant une fenêtre, sur un support de plaque d’étain, à Saint Loup-de-Varennes en Saône et Loire ;

/ Le braille ou l’écriture pour aveugle, en 1837, par Louis Braille. Il utilise le sens du toucher pour l’écriture et la lecture au moyen de points en relief ;

/ Le vélocipède à pédale (ancêtre du vélo) en 1861 par Pierre Michaux, artisan serrurier et charron. Cette invention s’appelait les « michaudines » ;

/ Le pansement ouaté (avec de l’alcool camphré) inventé par le docteur Alphonse Guérin pendant le siège de Paris de 1870 pour empêcher les germes présents dans l’air d’atteindre la plaie. Il avait soigné le pape Pie IX qui lui avait dit : « Docteur, vous êtes le plus grand médecin de la chrétienté !», aussi avait-il déclaré à son retour du Vatican « J’ai été obligé de le croire, il est infaillible » ;

/ Le vaccin contre la rage (1885), contre le choléra et contre la maladie du charbon furent mis au point par le scientifique Louis Pasteur ;

/ Le soutien-gorge, en 1889, par Eugénie Cadolle (lingerie) qui eut l’idée de couper le corset en deux, en ajoutant une armature : « le corselet-gorge » ;

/ Le cinématographe est commercialisé par Jules Carpentier, d’après le brevet déposé en 1895 par les frères Louis et Auguste Lumière. Le 1er film tourné fut un court métrage de moins de 40 secondes « La sortie des usines Lumière » ;

/ La radioactivité est identifié, en 1896, par le physicien Henri Becquerel ;

/ La découverte du radium et du polonium en 1898 par Marie et Pierre Curie ;

XX ème siècle

/ L’hydravion, premier vol autonome en 1910, par Henri Fabre ;

/ Le sonar, en 1915, par le physicien Paul Langevin ;

/ Le char de combat à tourelle pivotante, en 1917, par Renault ;

/ Le téléski, en 1936, par l’ingénieur - mécanicien Jean Pomagalski ;

/ La TVA, créée en 1954, impôt indirect sur la consommation théorisée par Maurice Lauré, directeur adjoint de la DGI mise en place avec son assistance, polytechnicien et IGF. Cet impôt indolore a fait le tour du monde ;

/ La soucoupe plongeante, en 1959, par Jacques-Yves Cousteau et Jean Mollard ;

/ La carte à puce, cet élément qui se retrouve sur toutes les cartes de paiement a été inventée, en 1975, par Roland Moreno, ingénieur autodidacte à la fabuleuse histoire méconnue (coursier pour l’Express) : machine à faire sauter des allumettes en l’air, petit oiseau mécanique, machine à tirer à pile ou face ;

Au total, c’est un véritable concours Lépine (lancé en 1901 par le préfet Louis Lépine) : le stylo à bille (1919), la machine à laver, (1922), la tondeuse à gazon (1930), le presse-purée (1931) ou les lentilles de contacts (1948).

Cette frénésie d’inventions relève du génie français. Selon l’OMPI, Cinq pays dominent le nombre de brevets en vigueur (Chine : 4,5 M, les E-U : 3,5 M, le Japon : 3,1 M, la Corée du Sud : 1,5 M, et l’Allemagne : 1,2 M). La France pointe à la 6 ème place avec 597 000 brevets, mais elle est à la 3 ème place pour les dépôts issus de la recherche publique (E-U, Allemagne). La France a déposé près de 11 000 brevets en 2024. Rapporté à la population, la Suisse qui est en tête, et la FR est à la 11 ème place, derrière Israël (53% dans les techniques industrielles et de transport, de la physique et de l’électricité). Les groupes Stellantis, Safran et Loréal ont déposé le plus de demandes de brevets en 2024.

2) Le génie de la langue française, vecteur d’une culture universelle

/ Voltaire donnait une définition dans son Dictionnaire philosophique : « On appelle génie d’une langue son aptitude à dire de la manière la plus courte et la plus harmonieuse ce que les autres langues expriment moins heureusement ».

Une des chances de notre langue est d’être sortie de son lieu de naissance pour aller se promener partout un peu partout dans le monde. Peu de langues se sont répandues loin de leur lieu d’origine, à part l’anglais ou l’espagnol, avec l’inconvénient de donner naissance à des langues dérivées (le québécois). Le latin médiéval a donné en Ibérie le castillan, en France le français, et toutes les langues d’oc. Le jacobinisme républicain a mis au fer dialectes et patois.

Le latin et le grec, aidés de langues vernaculaires, ont servi de pivot sémantique au français qui a intégré des mots d’origine étrangère (environ 2000 mots italiens principalement dans le vocabulaire de l’art et de la musique).

Parfois, des mots venant d’ailleurs sont à l’origine des emprunts du français revenus sous la forme anglaise : c’est le phénomène dit de ping-pong au-dessus de la Manche (tunnel n’est autre que la tonnelle réintroduit par les ingénieurs britanniques qui ont participé à la construction des premières voies de chemin de fer, management provient de ménager, budget vient de bougette, tennis de « tenez » des joueurs du jeu de paume).

La langue traduit une vision du monde, l’imaginaire d’un peuple, la structure d’une pensée. Le français est particulièrement accueillant aux néologismes anglo-saxons (globish). Est-ce une pure mode ? Si c’est le cas, consolons-nous, car selon Jean Cocteau « La mode, c’est ce qui par principe se démode ».

L’emprunt peut être un formidable enrichissement, car si l’anglais possède une résonnance mondiale, c’est en partie grâce à l’apport du français au XIV -ème et XV -ème siècles. La langue française est particulièrement précise, dotée d’une multitude de nuances, analytique, apte à structurer l’esprit et à ce titre est encline à développer l’esprit critique (Descartes, les philosophes du siècle des Lumières, les scientifiques, comme les époux Curie, Georges Charpak). Sa phonétique est douce et mélodieuse (linguiste Alain Rey). Clémenceau ne disait-il pas, non sans provocation, que « l’anglais n’était jamais que du français mal prononcé ». Le français est la langue officielle du droit et de l’administration de notre pays depuis l’ordonnance de Villers – Cotterêts signée en 1539 par François 1er. L’Académie française, fondée en 1634 par le Cardinal de Richelieu, a permis de normer le vocabulaire et la grammaire, et a renforcé son rôle unificateur. Au XVIII ème siècle, le rayonnement de la France, langue des diplomates, a valu à la langue française son statut de langue officielle dans les cours européennes (« Quand l’Europe parlait français » de Marc Fumaroli : rôle des Salons, des cénacles, des débats, le français étant la langue du bon esprit).

Le français est la 5 ème langue la plus parlée dans le monde, après le mandarin, l’anglais, l’espagnol et l’arabe. 300 M de francophones dans 106 pays et territoires, 132 M l’étudient (AF), 88 Etats sont membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie, 29 pays l’ont comme langue officielle, 4 ème langue sur Internet, et l’une des langues officielles dans les OI et l’UE.

Langue de la culture (littérature depuis le XIII ème siècle avec des géants comme Rutebeuf, Rabelais, Montaigne, Molière, Voltaire, Diderot, Victor Hugo, Albert Camus, des poètes comme Baudelaire, Aragon, Eluard, Aimé Césaire, des philosophes comme Descartes, J-J Rousseau, Bergson, Alain, Jean-Paul Sartre, …) elle a influencé les courants de pensée au-delà des frontières.

Le Panthéon, qui était dans l’Antiquité le temple de tous les dieux, est le lieu de mémoire où l’on rend hommage aux femmes et aux femmes et hommes illustres de notre pays, incarnation du génie français (Condorcet, l’abbé Grégoire, Victor Schoelcher, Maurice Genevoix, Manouchian, Sophie Berthelot, Simone Veil, Joséphine Baker). La richesse du patrimoine (45 000 châteaux et 1 220 musées) participe au classement de la France en tant que première destination touristique mondiale (100 M en 2024).

La culture française est perçue comme un art de vivre, parmi lesquelles une gastronomie reconnue (Auguste Escoffier) marquée par ses fromages et ses vins, la haute couture, la joaillerie, l’industrie du luxe, l’architecture, les festivals (Cannes en 1939, Avignon en 1947 par Jean Vilar « le théâtre où l’élitisme pour tous »), les acteurs, metteurs en scène (Luc Besson, Marion Cotillard). Tout comme le développement de la culture du sport, avec la fondation du CIO en 1894 par Pierre de Coubertin, la tenue des JO de Paris en 2024, et de grands noms comme le footballeur Zinedine Zidane, le nageur Léon Marchand, le judoka Teddy Riner, les Fédérations sportives étant des viviers de futurs champions.

L’une des singularités françaises est liée à l’existence d’une politique publique de la culture, conduite par un ministère depuis 1958 à l’instigation d’André Malraux, les institutions nationales et les collectivités territoriales.

La France s’est affichée à la pointe de la défense du secteur artistique face à la mondialisation, à travers l’affirmation d’une exception culturelle (les Etats sont souverains et donc sont fondés à limiter le libre-échange de la culture sur le marché et à soutenir leurs propres artistes) et de la diversité culturelle.

3) Le génie français : une volonté à remettre en cause l’ordre établi, levain révolutionnaire

Les soubresauts et les révolutions, au nom de l’égalité et de la défense des libertés, des droits de l’homme et du citoyen, ont profondément marqué l’histoire politique de la France (1789, 1793, 1830, 1848, 1871) (« On a tous quelque chose en nous de Gavroche »). D’où une instabilité institutionnelle remarquable : la France est parmi les pays qui ont connu le plus grand nombre de constitutions : une quinzaine sur plus de 200 ans, sans compter la constitution non appliquée de 1793, ou la « constitution Grévy » à partir de 1879 qui avait consacré un régime d’assemblée. Le doyen Georges Vedel avait évoqué qu’elle faisait figure de « véritable musée des constitutions » (1 aux E-U).

Les idéaux de 1789, même instrumentalisés, ont imprimé les relations internationales de la France avec ses voisins, à l’aune du cri « Vive la Nation » lancé, le 20/9/1792, par le général Kellerman sur le plateau de Valmy. La France était en 1789 un géant démographique (1 Européen sur 4 était Français, pays européen le plus peuplé : 28 M, avec un âge médian à 25 ans, contre plus de 41 ans en 2025) : tableau de la population française en 1780 de l’abbé Expilly).

4) Le génie français a été le souci constant de corriger par l’action politique les effets disruptifs de l’économie de marché

Depuis le colbertisme, l’Etat a une tradition d’intervention qui s’est renforcée avec le temps, faite de réglementations d’activités, et d’industries, de protectionnisme comme celui instauré par Jules Méline (tarifs agricoles), sous la III ème République, avec un secteur public élargi, et à partir de 1945, avec l’édification de l’Etat Providence, dont la pièce maîtresse est la SS face aux risques de l’existence dont nous venons de commémorer le 80 ème anniversaire.

Cette rétrospective mesure la vitalité du génie français, et son apport au progrès qui, selon Aristote, ne vaut que s’il est partagé (ordre et progrès, devise du positivisme d’Auguste Comte, reprise par le Brésil).

Ce qui frappe aujourd’hui, ce n’est pas l’importance des défis auxquels nous sommes confrontés, mais l’incapacité de nos élites à pouvoir les résoudre, à vouloir simplement les maîtriser. Une grille de lecture pourrait nous être utile : celle établie par Arnold Toynbee, spécialiste de l’histoire des civilisations, qui avait dégagé les déterminants de l’ascension et du déclin des civilisations par leur capacité à répondre ou non aux défis extérieurs et internes.

Les élites françaises ont cessé de vouloir impulser une énergie créative globale, choisissant une forme de conservatisme, d’immobilisme, de court-termisme, de défense d’intérêts particuliers au détriment de l’intérêt commun, conduisant ainsi à l’appauvrissement du pays, à une dangereuse fragmentation du corps social et par là-même à la brisure de l’unité de la Nation.

Mais rien n'est jamais inéluctable, et plusieurs scénarios peuvent être écrits pour inverser ce déclinisme ambiant : la clé réside dans la réinvention de notre capacité créative dans les domaines politique, économique, social et culturel indispensables à une démocratie solide, ayant foi dans son avenir. En tant que mouvement souverainiste, dessinons avec audace et sans tabou, les contours de ce chemin, non sans rappeler par certains aspects la démarche saint-simonienne.

« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas. C’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » devise intemporelle de l’homme d’Etat et philosophe, Sénèque : Lettres à Lucilius vers 63 – 64 ap J-C.

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